S comme Sarkozy
SARKOZY Nicolas, réponse à tout
Avocat de sa cause
On comprend qu’il ait délaissé la profession d’avocat pour celle de politicien, tant il est à son affaire dans la défense de ses propres intérêts.
Le couple de l’année... 2003
En découvrant Nicolas et Cécilia à la une de Gala, Chirac aurait déclaré : « Bientôt à Star’Ac en rollers.». C’est en tout cas plus glamour que Jacques et Bernadette au coin du feu, à la une du mensuel Notre Temps.
Le temps se corse
La politique de la main tendue en Corse lui a permis d’épingler un nouveau record à son actif : 273 attentats en 2003 contre 252 l’année précédente. L’arrestation de Charles Pieri le 14 décembre, considéré comme le Parrain de l’Ile, a été annoncée par Sarko comme le coup d’arrêt définitif aux dérives mafieuses de certains nationalistes. Quand on sait que Pieri a déjà passé le tiers de sa vie derrière les barreaux, on peut sérieusement douter de l’optimisme du premier flic de France.
Référendum douteux
Deux jours après l’arrestation de Colonna, les Corses disent non, à 50,78%, à la création d'une "collectivité territoriale unique", nouveau statut qui renforçait son autonomie. Les partisans officiels du oui couvraient pourtant tout l’éventail politique, y compris les nationalistes clandestins. Résultat des courses : les barons des partis traditionnels se déchirent à belles dents tandis que les nationalistes enterrent la hache de guerre et convolent en justes noces. Aux prochaines régionales, en mars 2004, compte tenu de la multiplication des listes à droite et à gauche, les nationalistes devraient être le premier parti de l’Ile.
« Celui qui réglera le problème corse aura la stature d’un homme d’Etat » a coutume de dire Sarkozy.
Le prix du rave
En intervenant personnellement pour que soit maintenu le Teknival sur le plateau du Larzac, Sarko a rappelé combien est élastique sa conception du maintien de l’ordre et de la morale républicaine. Des jeunes qui s’empiffrent de cachets d’ecstasy sous la protection des CRS, voilà qui n’est pas moins répréhensible que des prostitués qui tapinent sur la voie publique. Mais le poids électoral des secondes est sans doute moindre que celui des premiers.
Avocat de sa cause
On comprend qu’il ait délaissé la profession d’avocat pour celle de politicien, tant il est à son affaire dans la défense de ses propres intérêts.
Le couple de l’année... 2003
En découvrant Nicolas et Cécilia à la une de Gala, Chirac aurait déclaré : « Bientôt à Star’Ac en rollers.». C’est en tout cas plus glamour que Jacques et Bernadette au coin du feu, à la une du mensuel Notre Temps.
Le temps se corse
La politique de la main tendue en Corse lui a permis d’épingler un nouveau record à son actif : 273 attentats en 2003 contre 252 l’année précédente. L’arrestation de Charles Pieri le 14 décembre, considéré comme le Parrain de l’Ile, a été annoncée par Sarko comme le coup d’arrêt définitif aux dérives mafieuses de certains nationalistes. Quand on sait que Pieri a déjà passé le tiers de sa vie derrière les barreaux, on peut sérieusement douter de l’optimisme du premier flic de France.
Référendum douteux
Deux jours après l’arrestation de Colonna, les Corses disent non, à 50,78%, à la création d'une "collectivité territoriale unique", nouveau statut qui renforçait son autonomie. Les partisans officiels du oui couvraient pourtant tout l’éventail politique, y compris les nationalistes clandestins. Résultat des courses : les barons des partis traditionnels se déchirent à belles dents tandis que les nationalistes enterrent la hache de guerre et convolent en justes noces. Aux prochaines régionales, en mars 2004, compte tenu de la multiplication des listes à droite et à gauche, les nationalistes devraient être le premier parti de l’Ile.
« Celui qui réglera le problème corse aura la stature d’un homme d’Etat » a coutume de dire Sarkozy.
Le prix du rave
En intervenant personnellement pour que soit maintenu le Teknival sur le plateau du Larzac, Sarko a rappelé combien est élastique sa conception du maintien de l’ordre et de la morale républicaine. Des jeunes qui s’empiffrent de cachets d’ecstasy sous la protection des CRS, voilà qui n’est pas moins répréhensible que des prostitués qui tapinent sur la voie publique. Mais le poids électoral des secondes est sans doute moindre que celui des premiers.
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home